legend of native americans indians

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SITTING BULL

sitting bull

par the legend of native american indians, vendredi 1 juillet 2011, 17:24 ·  https://static.blog4ever.com/2012/03/678245/artfichier_678245_655690_201203182528668.jpg

 

 

SITTING BULL

"Look at my brothers, the spring has come,

the earth has received the kisses of the sun,

and we will soon see the fruits of love "

 

 

 

Hero and martyr of the Indian resistance, Sitting Bull, Hunkpapa Sioux chef, winner at Little Big Horn, embodied the courage and pride of legendary horsemen of the Plains.

 

The man with hard features, expression filled with piercing sagacity, as it appears on the clichés of the time, focused at arm's length the fate of his people for which he did not want one thing, a free life. Warrior, he was to the depths of being. Yet there was no more ardent advocate for peace than he was. His whole life was spent trying to find common ground with white people and the U.S. government.

 

Few Indian leaders who displayed a similar desire for peace. But when he had to battle, he did so with a fierce rage. The legend goes that made him a medicine man, a sage, a "saint" not inclined to the things of the war. This is largely false.

 

The evidence suggests indeed that Sitting Bull had a prophecy out, but he was also and above all a soldier, leader of fighting. Thus he distinguished himself among his own people, and it succeeds, the mid-nineteenth century to be the unifier of many Plains tribes.

 

Like any Indian leader he held in his hands the two poles opposing one might think of Indian consciousness: on one side, a spirituality oriented towards peace and harmony with all living things, and the other one extraordinarily extensive military education and certainly rarely equaled.

 

Sitting Bull was one of those who succeeded, perhaps best to manage this apparent inconsistency. The size of the character is even more striking at a time or white side, all those who participated directly or indirectly to the "Indian policy" of the U.S. government were only mediocre figures, whose main concern was personal career and obtaining government favors, hoping for some, they would end well for the climb up the social and political hierarchy, if, as expected General Custer to the rank of president United States.

 

Custer paid with his life earned him the delusion that his extravagant ambition.

 

A few years later, it was the turn of Sitting Bull, whose authority, become more than embarrassing for his enemies of all stripes, whites and Indians, was behind his assassination, there are over one hundred years, This year 1890 marked by so much violence and unrest, and including the massacre of Wounded Knee was, somehow, the bloody climax. The famine was due to his courage and strength: the buffalo had been hijacked by fire plains and no one will accept to provide food.

 

Well he had to face the fact that almost everyone had given up. The heavy heart, he decided to join those of his family who had already made, leaving their precious horses, weapons, everything that made their presence warrior. American newspapers became an echo of his surrender to Sitting Bull and lent these words: "Note that I am the last man of my people to drop their weapons."

 

One of his nephews who had accompanied him to the end, said he did not happen, and that, as he was lonely, tired, he had not had the heart to say such things, his only concern is to know what he was going to get Americans to his people. The government decided to send in the Standing Rock Reservation (North Dakota), where he was assassinated in 1890.

 

 

SITTING BULL

"Regardez mes frères, le printemps est venu,

 

la terre a recu les baisers du soleil,

et nous verrons bientôt les fruits de cet amour"

 

Héros et martyr de la résistance amérindienne, Sitting Bull, grand chef Sioux Hunkpapa, vainqueur à Little Big Horn, incarna le courage et la fierté légendaire des cavaliers des Plaines.

Cet homme aux traits durs, à l'expression emplie de sagacité perçante, tel qu'il apparaît sur les clichés de l'époque, a porté à bout de bras la destinée de son peuple pour lequel il ne désirait qu'une chose, une vie libre. Guerrier, il le fut jusqu'au tréfonds de l'être. Et pourtant, il n'y eut pas plus ardent défenseur de la paix que lui. Sa vie entière se passa à essayer de trouver un terrain d'entente avec les Blancs et le gouvernement américain.

Rares sont les chefs indiens qui déployèrent une semblable volonté de paix. Mais quand il dut livrer bataille, il le fit avec une rage féroce. La légende qui le poursuit fait de lui un homme-médecine, un sage, un "saint homme" peu enclin aux choses de la guerre. C'est en grande partie faux.

Les témoignages laissent penser en effet que Sitting Bull avait un don de prophétie avéré, mais il fut aussi et surtout un homme de guerre, meneur de combats. C'est ainsi qu'il se distingua parmi les siens, et qu'il réussit, au milieu du XIXe siècle, être l'unificateur de plusieurs tribus des Plaines.

Comme tout leader indien il tendit entre ses mains les deux pôles qu'on pourrait croire opposés de la conscience indienne : d'un côté, une spiritualité orientée vers la paix et l'entente avec tout ce qui vit, et de l'autre une éducation guerrière extraordinairement poussée et certainement rarement égalée.

Sitting Bull fut un de ceux qui parvinrent peut-être le mieux à gérer cette apparente incompatibilité. L'envergure du personnage n'en est que plus marquante à une époque ou, côté blanc, tous ceux qui participèrent de près ou de loin à la "politique Indienne" du gouvernement américain ne furent que de médiocres figures, dont le principal souci était la carrière personnelle et l'obtention des faveurs gouvernementales, en espérant, pour certains, qu'elles finiraient bien par les hisser en haut de la hiérarchie sociale et politique, voire, ainsi que l'escomptait le général Custer, au rang de président des Etats-Unis.

Custer paya de sa vie l'aveuglement que lui valut son extravagante ambition.

Quelques années plus tard, ce fut au tour de Sitting Bull, dont l'autorité, devenue plus que gênante pour ses ennemis de tous bords, Blancs et Indiens, fut à l'origine de son assassinat, il y a plus de cent ans, en cette année 1890 marquée par tant de violences et de troubles, et dont le massacre de Wounded Knee fut, en quelque sorte, la sanglante apothéose. La famine eut raison de son courage et de sa force : les troupeaux de bisons avaient été détournés par des feux de plaines et plus personne n'acceptait de lui fournir des vivres.

Il dut bien se rendre à l'évidence que presque tout le monde l'avait laissé tomber. La mort dans l'âme, il décida de rejoindre ceux des siens qui s'étaient déjà rendus, abandonnant leurs précieux chevaux, leurs armes, tout ce qui faisait leur prestance guerrière. Les journaux américains se firent l'écho de sa reddition et prétèrent à Sitting Bull ces paroles : "Notez que je suis le dernier homme de mon peuple à baisser les armes."

Un de ses neveux qui l'avait accompagné jusqu'au bout, affirma qu'il n'en fut rien, et que, solitaire comme il était, fatigué, il n'avait pas eu le coeur à tenir de tels propos, son seul souci étant de savoir ce qu'il allait pouvoir obtenir des Américains pour son peuple. Le gouvernement décida de l'envoyer dans la réserve de Standing Rock (Dakota du Nord), où il fut assassiné en 1890.




01/04/2012
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