Some myths sweeping emergency,Quelques mythes à balayer d'urgence
Some myths sweeping emergency
Most people know very little about Indians. Worse, what they know is usually wrong.
With regard to the history and culture of Native Americans, there are two kinds of people: those who do not know anything and those who know even less. This widespread ignorance makes us one of the ethnic minorities the most misunderstood of the United States. Native Americans are also one of the most isolated from the rest of society, familiarity most people do not come from their direct experience. The use of stereotypes therefore acts as a substitute for an intimate and meaningful. Yet while many of these myths may seem ridiculous or silly stakeholders are confronted almost daily.
(If you want to travel you must first ask the creator)
(If you want me to leave, you must first drag the Creator in court.)
Myth 1: The Indians prefer to be called Native Americans
The first thing most people want to know, seeing that I am Indian, this is how I want people to call me. This issue is often framed in the interest of political correctness, but, in many cases, it is really sincere. Academics seem to have a strong preference for the term Native American. But we, Indians, we on this issue a schizophrenic position that we have no problem. For my part, I can say either Aboriginal, Native American, Indian and Indian-American, sometimes in the same sentence.
Myth 2: They enjoy special privileges
One extremely common stereotypes is that Native Americans enjoy special privileges that other Americans would not be eligible. Thus, we would be entitled to free education, free medical care, to benefits and substantial revenue from the casinos. Many people even believe that Indians do not pay taxes. The reality is much more complex.
Those who are offended by these "special privileges" does not understand the nature of the relationship between Indian tribes and the federal government. The tribes signed treaties with the U.S. government in exchange for the surrender of their lands. Therefore, many of these "privileges" are actually treaty obligations.
In the many treaties that the tribes have signed with the federal authorities, certain clauses specified that the government would guarantee the tribes education and medical care in exchange for all ancestral lands ceded by the Indians. Education and medical care we enjoy today have been "bought and paid for" by our ancestors. Some tribal members are effectively exempt from certain taxes. But the reason is both logical and legal. The Federal Reserve is not part of the States in which they operate. The IndiensAméricains living and working on a particular subject does not have to meet certain state taxes. However, they pay other taxes, such as federal income tax.
Myth 3: It is an endangered population
A man asked me one day about my racial identity. I replied that I belonged to the tribe of Kickapoos.
"But I thought they were all dead!" did he once exclaimed.
The thing would be surprising to some 1600 members of my tribe alive, but this discussion clearly illustrates the fact that many people believe the myth of the Indians endangered. However, in July 2003, the number of Indians and Alaska Natives or persons was estimated at about 4.4 million people for the entire United States. This is far from an endangered population!
Myth 4: They are easily identifiable
Every Indian-Americans do not fit the stereotype physics which is commonly associated. Not all have brown skin (and none have red skin red) with high cheekbones and long black hair braided. Some Indians are blond with blue eyes. Some features of African Americans.
Indian
Myth 5: They live on reserves
According to the U.S. Census Bureau, 538,000 Indian-Americans, pure or mixed blood, living on reserves or special territories. This number included those living on Indian territories in Oklahoma history and the state reserves. But 57% of American Indians and Alaska Natives live in urban areas. However, it is true that in some states of the western United States such as Montana, South Dakota, Arizona, New Mexico and Utah, the majority of Indians live in or near an Indian reservation.
Fighting terrorism since 1492
Myth 6: They have an intuitive knowledge of their culture and their history
No, Indian children are not born with an intimate knowledge of their heritage. This may sound silly to say, but the teachers and professors sometimes believe that the mere presence of an Indian child in the classroom will enable them to access information about Indian culture. Our children must learn the Indian language, and the stories and ideals of their people, just like us, their parents, have done ourselves
Source: Walter C. Remington Professor at the Institute of Native Studies at the University of Montana for the newspaper THE Phi Delta Kappan
Quelques mythes à balayer d'urgence
La plupart des gens ne savent que très peu de chose au sujet des Indiens. Pis encore, ce qu'ils savent est généralement faux.
S'agissant de l'histoire et de la culture des Amérindiens, il y a deux sortes de gens : ceux qui n'en connaissent rien et ceux qui en savent encore moins. Cette méconnaissance généralisée fait de nous l'une des minorités ethniques les plus mal comprises des Etats-Unis. Les Amérindiens étant également l'un des groupes les plus isolés du reste de la société, la connaissance qu'en ont la plupart des gens ne leur vient pas d'une expérience directe. Le recours aux stéréotypes joue donc le rôle d'un substitut à une connaissance intime et significative. Pourtant, même si beaucoup de ces mythes peuvent paraître ridicules voire stupides les intéressés y sont confrontés presque quotidiennement.
(Si vous voulez me déplacer vous devez d'abord demander au créateur)
(Si vous voulez que je parte,vous devez d'abord traîner le Créateur en justice.)
Mythe 1 : Les Amérindiens préfèrent qu'on les appelle Native Americans
La première chose que la plupart des gens veulent savoir, en voyant que je suis indien, c'est comment je souhaite qu'on m'appelle. Cette question est souvent formulée par souci du politiquement correct, mais, dans bien des cas, elle est vraiment sincère. Les milieux universitaires semblent avoir une préférence marquée pour les termes de Native American. Mais nous autres, Indiens, nous avons sur cette question une position schizophrénique qui ne nous pose aucun problème. Pour ma part, je peux me dire indifféremment autochtone, amérindien, indien et indien-américain, parfois même dans la même phrase.
Mythe 2 : Ils bénéficient de privilèges particuliers
L'un des stéréotypes extrêmement répandus est que les Amérindiens bénéficient de privilèges particuliers auxquels les autres Américains n'auraient pas droit. Ainsi, nous aurions droit à l'éducation gratuite, aux soins médicaux gratuits, à des allocations et des revenus conséquents issus des casinos. Beaucoup de gens croient même que les Indiens ne paient pas d'impôts. La réalité est beaucoup plus complexe.
Ceux qui s'offusquent de ces "privilèges particuliers" ne comprennent pas la nature de la relation qui existe entre les tribus indiennes et le gouvernement fédéral. Les tribus ont signé des traités avec le gouvernement américain en échange de la cession de leurs terres. Par conséquent, beaucoup de ces "privilèges" sont en fait des obligations découlant des traités.
Dans les nombreux traités que les tribus ont signés avec les autorités fédérales, certaines clauses précisaient que le gouvernement garantirait aux tribus l'éducation et les soins médicaux en échange de toutes les terres ancestrales cédées par les Indiens. L'éducation et les soins médicaux dont nous bénéficions actuellement ont donc été "achetés et payés" par nos ancêtres. Certains membres des tribus sont effectivement exemptés de certains impôts. Mais la raison en est à la fois logique et juridique. Les réserves fédérales ne font pas partie des Etats sur lesquels elles sont implantées. Les IndiensAméricains vivant et travaillant sur telle ou telle réserve n'ont donc pas à s'acquitter de certains impôts étatiques. En revanche, ils paient d'autres impôts, par exemple l'impôt fédéral sur le revenu.
Mythe 3 : II s'agit d'une population en voie de disparition
Un homme m'interrogea un jour sur mon identité raciale. Je lui répondis que j'appartenais à la tribu des Kickapoos.
"Mais je croyais qu'ils étaient tous morts !" s'est-il alors exclamé.
La chose aurait de quoi surprendre les quelque 1 600 membres bien vivants de ma tribu, mais cette réflexion illustre clairement le fait que beaucoup de gens croient au mythe des Indiens en voie de disparition. Or, en juillet 2003, le nombre d'Indiens et d'autochtones de l'Alaska ou de personnes était estimé à environ 4,4 millions de personnes pour l'ensemble des Etats Unis. On est donc loin d'une population en voie de disparition !
Mythe 4 : Ils sont aisément identifiables
Tous les Indiens-Américains ne correspondent pas au stéréotype physique qui leur est généralement associé. Tous n'ont pas la peau brune (et aucun n'a la peau rouge rouge) avec des pommettes saillantes et de longs cheveux noirs tressés. Certain Indiens sont blonds avec des yeux bleus. Certains ont des traits d'Africains-Américains.
Amérindien
Mythe 5 : Ils vivent dans des réserves
D'après le bureau du recensement américain, 538 000 Indiens-Américains, de sang pur ou métissé, vivent dans des réserves ou territoires spéciaux. Ce nombre inclus les personnes vivant sur les territoires Indiens historiques en Oklahoma et sur les réserves des Etats. Mais 57% des Indiens-Américains et des autochtones de l'Alaska vivent dans des zones urbaines. Il est toutefois exact que, dans certains Etats de l'ouest des Etats-Unis comme le Montana, le Dakota du Sud, l'Arizona, le Nouveau-Mexique et l'Utah, la majorité des Indiens vivent dans ou à proximité d'une réserve indienne.
Combat le terrorisme depuis 1492
Mythe 6 : Ils ont une connaissance intuitive de leur culture et de leur histoire
Non, les enfants indiens ne naissent pas avec une connaissance intime de leur héritage. Cela peut paraître stupide à dire, mais les instituteurs et les professeurs croient parfois que la seule présence d'un enfant indien dans leur classe va leur permettre d'avoir accès à des informations sur la culture indienne. Nos enfants doivent apprendre la langue indienne, ainsi que les récits et les idéaux de leur peuple, exactement comme nous, leurs parents, l'avons fait nous-mêmes
Source : Walter C. Reming Professeur à l'Institut des études amérindiennes de l'université du Montana pour le journal THE PHI DELTA KAPPAN
A découvrir aussi
- CAHOKIA MOUNDS
- The legend of Indian snakes,LA LEGENDE DES INDIENS SERPENTS
- extermination and assimilation
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 75 autres membres