life in a sioux village
life in a sioux village
Life in a Sioux Village
The spiritual power of healing
The Indians believed that everything in the world is part of the Great Spirit. There were some tribes in the two types of healers (the role is often given in fact by a single person). The doctors were paid when they cared, reduced fracture, applied poultices, prescribed remedies and some sewed injury. Their actions were often very theatrical to convince the patient of their power. There were shamans, medicine man or medicine woman, who were more attentive to the spiritual needs. These powers had been given by the Great Spirit through dreams and visions. Each shaman had items such as protective skin of bear, medicine bag decorated with porcupine quills, stick sacred rattle. An object was sacred medicine because blessed by a holy man or used in a religious ceremony.
The quest for a vision
The quest for a vision leads to spiritual power. The person seeking a vision left the camp and left for 4 days during which she was fasting and praying, hoping to receive a divine sign. This sign would come in the form of an animal, a bird, a rock or tree. An animal seen in a dream or vision can be painted on the shields of the warrior as a sign of protection.
Dances
The dances were (and are) an important part of the social and spiritual life of the tribe. The Indians believe that in renewing the spirit of the Earth, the number of animals and quality of crops, they maintain the life force within the tribe. Everyone must dance the youngest to the oldest. The warrior societies such as women's guilds had their own dances. The scalp dance could last several days, they celebrated a victory in war. Men wearing masks shaped head of bison were practicing "the buffalo dance" which describes a hunt.
She was executed when food was scarce to bring the buffalo. While some were dancing, the young hunters left the village in search of animals.
Barter
There is a long commercial tradition in the plains tribes who traded goods with each other, then with the white man. The Indians quickly realized the benefit of metal axes, tools and kitchen guns that made their survival much easier. The horses were the property that had the greatest value: an exceptional horse could be worth up to 10 rifles. A horse s normal exchange against a rifle with 100 rounds or 8 buffalo hides. In exchange for a buffalo hide, you could have three blades or 25 cartridges. If the skin is decorated it could be exchanged against three horse transport. The Indians also had wolf skins and beaver as well as pemmican (a mixture of dried meat, fat and fruits) they exchanged against shells and pearls, all goods brought by the whites were made thousands of miles away in New Jersey on the East Coast of the United States. Some items were imported from Italy (glass beads), China (red paint), Britain (firearms, knives, axes, blankets), France (copper rings). The white traders traveled from village to village or installing stations selling Indian territory. These positions multiplied in the 19th century with the sale of furs.
The arrival of white marking the beginning of the end of the nomadic lifestyle that lasted enrivon 150 years, the last 25 years being the years of wars and conflicts with the newcomers. The Indian wars lasted from 1854 to 1890.
White trappers were the first to come into contact with the Indians. They were known as the "mountain men" and their relations with the Indians were quite friendly, many learners also indigenous languages. The Indian s' meant well with the traders they liked the products. As long as there were enough buffalo, and they did not take their land, the settlers and the soldiers were not a problem. Indians tolerate their presence. But the whites brought diseases such as measles, smallpox, and cholera as well as the alcohol that killed many people.
The years following the victory of the Indians of Custer at Little Big Horn in 1876 also saw disappearing nomadic culture and the buffalo hunt. Many Indians were moved to reservations far from their homeland and away the most fertile land, seized by white farmers. The children were sent to schools where they are dressed to the European, they were converted to Christianity and were forbidden to speak their native language.
La vie quotidienne dans un village Sioux
Le pouvoir spirituel des guérisseurs
Les indiens croyaient que chaque chose dans le monde fait partie du Grand-Esprit. Il y avait parfois dans les tribus deux sortes de guérisseurs (le rôle est souvent tenu en fait par une seule et même personne). Les docteurs étaient rémunérés quand ils soignaient, réduisaient une fracture, appliquaient des cataplasmes, prescrivaient certains remèdes ou recousaient des blessures. Leurs actes étaient souvent très théâtraux pour convaincre le malade de leur pouvoir. Il y avait aussi les chamans, médecine man ou médecine woman, qui étaient plus attentifs aux besoins spirituels. Ces pouvoirs leur avaient été donnés par le Grand Esprit à travers des rêves et des visions. Chaque chaman possédait des objets protecteurs tels que peau d' ours, sac médecine décoré avec des piquants de porc-épic, bâton sacré, hochet. Un objet médecine était sacré parce que bénit par un saint homme ou utilisé lors d'une cérémonie religieuse.
La quête d'une vision
La quête d'une vision mène au pouvoir spirituel. La personne en quête d'une vision quittait le camp et partait pendant 4 jours au cours desquels elle devait jeûner et prier, espérant recevoir un signe divin. Ce signe viendrait sous la forme d'un animal, d'un oiseau, d'un rocher ou d'un arbre. Un animal vu dans un rêve ou une vision pouvait être peint sur le bouclier du guerrier en signe de protection.
Les danses
Les danses étaient (et sont toujours) une partie importante de la vie sociale et spirituelle de la tribu. Les indiens pensent que danser renouvelle l' esprit de la Terre, le nombre d' animaux et la qualité des récoltes; elles maintiennent la force de vie au sein de la tribu. Tout le monde doit danser des plus jeunes aux plus âgés. Les sociétés de guerriers comme les guildes féminines avaient leurs propres danses. Les danses du scalp pouvaient durer plusieurs jours, elles célébraient une victoire guerrière. Des hommes portant des masques en forme de tête de bison pratiquaient "la danse du bison" qui décrit une chasse. Elle était exécutée quand la nourriture se faisait rare afin de ramener les troupeaux de bisons. Pendant que certains dansaient, les jeunes chasseurs quittaient le village à la recherche des animaux.
Le troc
Il existe une longue tradition commerciale dans les tribus des plaines qui échangeaient des biens entre elles, puis avec l'homme blanc. Les indiens comprirent vite l' intérêt des haches en métal, des instruments de cuisine et des armes à feu qui rendaient leur survie bien plus facile. Les chevaux étaient les biens qui avaient la plus grande valeur: un cheval exceptionnel pouvait valoir jusqu'à 10 carabines. Un cheval normal s' échangeait contre une carabine avec 100 cartouches ou 8 peaux de bisons. En échange d'un peau de bison, on pouvait avoir trois couteaux ou 25 cartouches. Si la peau est décorée elle pouvait être échangée contre trois chevaux de transport. Les indiens disposaient aussi de peaux de loup et de castor ainsi que de pemmican (mélange de viande séchée, de graisse et de fruits) qu'ils échangeaient contre des coquillages ou des perles ; tous les biens amenés par les blancs étaient fabriqués à des milliers de kilomètres de là, dans le New-Jersey sur la côte Est des Etats-Unis. Certains objets étaient importés d'Italie (perles en verre), de Chine (peinture rouge), de Grande-Bretagne (armes à feu, couteaux, haches, couvertures), de France (bagues en cuivre). Les commerçants blancs voyageaient de village en village ou installaient des postes de vente en territoire indien. Ces postes se multiplièrent au 19ème siècle avec la vente des fourrures.
L'arrivée des blancs marquant le début de la fin du style de vie nomadique qui dura enrivon 150 ans, les 25 dernières années étant des années de guerres et de conflits avec ces nouveaux venus. Les guerres indiennes durèrent de 1854 à 1890.
Les trappeurs blancs furent les premiers à entrer en contact avec les indiens. On les connaissait sous le nom de "mountain men" et leurs relations avec les indiens étaient plutôt amicales, beaucoup apprenant d'ailleurs les langages autochtones. Les indiens s' entendaient bien avec les commerçants dont ils appréciaient les produits. Tant qu'il y avait suffisamment de bisons, et qu'ils ne prenaient pas leurs terres, les colons et les soldats ne posaient pas de problème. Les indiens toléraient leur présence. Mais les blancs amenèrent les maladies comme la rougeole, la variole, et le choléra ainsi que l' alcool qui tuèrent grand nombre de personnes.
Les années qui suivirent la victoire des indiens sur Custer à Little Big Horn en 1876 virent aussi disparaître la culture nomade et la chasse au bison. Beaucoup d'indiens furent déplacés dans des réserves souvent loin de leur terres natales et loin des terres les plus fertiles, accaparées par les fermiers blancs. Les enfants étaient envoyés dans des écoles où on les habillait à l' européenne, on les convertissait au Christianisme et on leur interdisait de parler leur langue natale.
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