legend of native americans indians

legend of native americans indians

Assiniboine Indians

Assiniboine Indians Stoney Nakoda or also called

    

Assiniboine Indians

The name comes from the Ojibway Assiniboine Assinipwan which means the people of the stone and water in reference to the method of cooking used by those Indians who boiled their food in stomachs by adding hot rocks fire. In western Canada, they were nicknamed by the Canadians Stoney (Stone, stone English) for the same reason. Assiniboine to call themselves Nakoda meaning allies or people. The ancestral lands of the Assiniboine were located in forested areas of Minnesota. They are of the same family as the Nakota Sioux Yantonai and they separated in 1640 to seek new hunting grounds, they also speak a dialect of the Sioux. Unlike the latter who went to the east, the Assiniboine are parties to the North to the Lake Winnipeg. The new territory claimed by the Assiniboine was extremely wide, it stretched from the Assiniboine River in Manitoba to the Milk River in Montana, a large part of the northern plains. This vast territory was not their exclusive, however, they shared with other tribes, friends and enemies. They therefore often found themselves on the hunting grounds of other tribes. As a result, they were at war with the Sioux, Cheyenne, Arikara, the Gros Ventre and Blackfoot. Their allies were the Cree and Ojibway. We can say that the Assiniboine had a typical Plains tribe. They lived in tipis and moved their camp using sledges drawn by dogs, and later by horses. They hunted buffalo, their main source of food with deer, elk and moose and moved often in search of game. They trapped the beaver fur which they exchanged against goods in the posts.

 

Assiniboine Camp - Library and Archives Canada, Public Domain

Camp Assiniboine in Manitoba - Library and Archives Canada, like other Plains tribes, the Assiniboine family was not very large, limited by food supply uncertain. A family had three children at most. At the height of their expension, there were about thirty villages scattered across the Great Plains, each village was composed of one or more families with their parents more or less close. Some times had nearly a thousand people. Feeding such a large number of individuals was difficult, so in most cases these villages were reduced to only a teepee. Assiniboine, however, gathered in greater numbers during religious festivals like the Sun Dance which was held in early summer. Then they organized for the festivities which included games and feasts, at that time, their total population was estimated at about 10,000 people. Following the smallpox epidemics of the 19th century, this number was reduced to about 2.600 people.

Their first contact with white people date from 1690 when a young employee, Henry Kelsey, left the trading post of the Hudson's Bay Company (James Bay) to accompany a group of Assiniboine who went on their territories in eastern now Saskatchewan.

The fur trade played an important role very quickly for these Indians, they were one of the most influential tribes in this area by standing as essential intermediaries between the posts and the other tribes of the plains. Their paths that roamed the northern plains soon became the main transportation routes of goods, and traditional camping sites were quickly transformed into posts. This trade enabled them to acquire all sorts of goods from white traders, guns, axes and other metal items, blankets, beads. In exchange, they got furs and horses of other tribes. The Assiniboine also provided an excellent meat and pemmican to employees of posts. This trade was, however, that positive ratings, he brought new diseases like smallpox, against which the Indians were poor. Another problem was that the traders attempted to override the Assiniboine to deal directly with the other tribes, which obviously caused clashes.

 

                                                                                                                                                                                         Les indiens Assiniboines

Aussi appelés Nakoda ou StoneY

par les Canadiens (de Stone, la pierre en anglais) pour la même raison. Les Assiniboines se nomment eux-mêmes Nakoda ce qui signifie alliés ou peuple. Les terres d'ancestrales des Assiniboines étaient situées dans les zones forestières du Minnesota. Ils sont de la même famille que les Sioux Yantonai ou Nakota dont ils se séparèrent vers 1640 pour chercher de nouveaux territoires de chasse, ils parlent par ailleurs un dialecte dérivé du Sioux. Contrairement à ces derniers qui sont allés vers le l'est, les Assiniboines sont partis vers le Nord, vers la région du Lac Winnipeg. Le nouveau territoire réclamé par les Assiniboines était extrêmement vaste, il s'étendait de la rivière Assiniboine dans le Manitoba jusqu'à la Milk River dans le Montana, soit une grande partie des plaines du nord. Ce vaste territoire ne leur était cependant pas exclusif, ils le partageaient avec d'autres tribus, amies et ennemis. Ils se retrouvaient donc souvent sur les territoires de chasse des autres tribus. De ce fait, ils étaient en guerre avec les Sioux, Cheyenne, Arikara, l Gros-Ventre et Blackfoot. Leurs alliés étaient les Cree et des Ojibway. On peut dire que les Assiniboines était une tribu typique des plaines. Ils vivaient dans des tipis et déplaçaient leurs camp en utilisant des travois traînés par des chiens, puis plus tard par des chevaux. Ils chassaient le bison, leur principale source de nourriture avec le cerf, le wapiti et l'élan et se déplaçaient souvent à la recherche du gibier. Ils piégeaient le castor dont ils échangeaient la fourrure contre des marchandises dans les postes de traite. en référence au mode de cuisine utilisé par ces indiens qui faisaient bouillir leur repas dans des panses en y ajoutant des pierres chauffées au feu. Dans l'ouest du Canada, ils ont été surnommés qui signifie le Le nom Assiniboine provient de l'Ojibway

 

 

Camp Assiniboine dans le Manitoba - Library and Archives Canada Comme les autres tribus des plaines, la famille Assiniboine n'était pas très grande, limitée par des ressources alimentaires incertaines. Une famille comptait 3 enfants tout au plus. Au plus fort de leur expension, il y avait une trentaine villages éparpillés dans les grandes plaines, chaque village était composé d'une ou plusieurs familles avec leurs parents plus ou moins proches. Certains comptaient parfois près de mille de personnes. Nourrir un tel nombre d'individus était difficile, de sorte que le plus souvent ces villages étaient réduits à quelque tipis seulement. Les Assiniboines se rassemblaient cependant en plus grand nombre lors de fêtes religieuses comme la Sun Dance qui avait lieu au début de l'été. Ils organisaient alors pour l'occasion des festivités qui comprenaient jeux et festins, A cette époque, leur population totale était estimée à environ 10,000 personnes. Suite aux épidémies de variole du 19ème siècle, ce nombre fut réduit à environ 2,600 personnes.

 

Leur premier contact avec les blancs date de 1690 lorsque qu'un jeune employé, Henry Kelsey, quitta le poste de traite de la Hudson's Bay Company (Baie James) pour accompagner un groupe d'Assiniboines qui se rendait sur leurs territoires de l'est, aujourd'hui la Saskatchewan.

Le commerce de la fourrure joua très vite un rôle important pour ces indiens, ils furent l'une des tribus les plus influentes dans ce domaine en se plaçant comme intermédiaires incontournables entre les postes de traite et les autres tribus des plaines. Leurs sentiers qui parcouraient les plaines du nord devinrent rapidement les voies de transport principales des marchandises, et leurs sites de campement traditionnels furent vite transformés en postes de traites. Ce commerce leur permit d'acquérir toutes sortes de biens des marchands blancs; armes à feu, haches et autres objets de métal, couvertures, perles. En échange, ils obtenaient fourrures et chevaux des autres tribus. Les Assiniboine fournissaient aussi viande et un excellent pemmican aux employés des postes de traite. Ce commerce n'avait cependant pas que des cotés positifs, il apportait de nouvelles maladies comme la variole contre laquelle les Indiens étaient démunis. Un autre problème était le fait que les marchands tentaient de passer outre les Assiniboine pour traiter directement avec les autres tribus, ce qui causait évidemment des accrochages.

 



03/04/2012
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